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Réunion des DDMU d’une même province

Une réunion au niveau de la province permet souvent aux DDMU et aux membres de leurs équipes de se rencontrer, se soutenir mutuellement, consacrer une journée à un thème d’étude, souvent le thème de la Semaine Missionnaire Mondiale… Voici l’exemple et le compte-rendu de la journée de la province de Lyon qui s’est tenue dans l’Ardèche le 5 mai 2015. La journée était consacrée au thème de la JMM 2015 (Va, je t’envoie), elle a bénéficié de l’apport de Alfonso Bartolotta (de l’Enfance missionnaire), elle a permis des échanges d’informations ! Les réunions provinciales (pour la plupart des provinces, entre une et quatre réunions par an) est une institution traditionnelle, utile et féconde. Il ne tient qu’à nous de la rénover pour la mettre à l’heure des défis d’aujourd’hui.

 

Rencontre provinciale des services diocésains de la Mission universelle
Viviers – 5 mai 2015

Le vendredi 5 mai, les équipes des services de la Coopération Missionnaire des huit diocèses de la province ecclésiastique de Lyon se sont retrouvées à la maison diocésaine de Viviers pour la préparation de la prochaine semaine missionnaire mondiale. Dans l’après-midi, Mgr Blondel est venu nous dire quelques mots malgré un emploi du temps chargé.

15_05_05_A.BartolottaDès 9h, les représentants des services de coopération missionnaire se sont retrouvés autour d’une boisson et de quelques viennoiseries. Ce petit temps convivial a permis de faire connaissance pour les nouveaux, de se retrouver pour les anciens et d’échanger les dernières nouvelles. A 10h, la réunion a débuté avec un mot d’accueil du Père Kolié, DDMU de l’Ardèche, suivi d’un temps de prière préparé par l’équipe du diocèse de la Drôme.

A 10h15, le Père Alfonso Bartolotta (responsable national de l’Enfance Missionnaire et du Pôle Missio-Jeunes) a présenté le thème de la prochaine semaine missionnaire mondiale : « Va, Je t’envoie ! »

 

Avant de parler de ce thème, le père Alfonso a fait un petit retour sur le décret « Ad gentes »

Le décret « Ad Gentes » sur l’activité missionnaire de l’Église a 50 ans (7.XII.1965 – Pape Paul VI), il ne faut pourtant pas « rester en 1965» mais plutôt rebondir et comprendre ce que ce texte peut nous dire à nous, membres de l’Église d’aujourd’hui, car l’Église et le monde ont changé depuis…

Ce décret est arrivé à la suite d’un long travail de réflexion des pères sur l’activité missionnaire de l’Église. Il fut précédé par la Constitution dogmatique « Lumen Gentium » (21.XI.1964) centrée sur le Christ, Lumière du monde. L’Église par le décret Ad Gentes nous rappelle non seulement de suivre le Christ, Lumière du monde, mais surtout les paroles de Jésus : « Vous êtes le sel de la terre… vous êtes la lumière du monde » (Mt 5, 13.14). Par notre parole et par notre témoignage de vie nous sommes appelés à être, à notre tour, une lumière pour les autres. Même si ce n’est pas une constitution ni une encyclique, ce décret a fait la quasi-unanimité et fut signé par le Pape Paul VI et de nombreux Pères, avant la conclusion du Concile Vatican II de l’Église. Ils étaient tous d’accord sur ce qui devait être publié (2394 pour / 5 contre). C’est un document source de vie, un repère, une base pour le dynamisme de l’Église universelle dont le but était de faire réfléchir et de donner un nouvel élan missionnaire à tous les baptisés. Il a servi de base à deux autres documents pontificaux, pour souligner les 10 ans et les 25 ans du décret Ad Gentes :
* En 1975 « evangelii nuntiandi » : l’exhortation apostolique sur l’évangélisation dans le monde moderne (Pape Paul VI).
* En 1990 « redemptoris missio » : la lettre encyclique sur la valeur permanente du précepte missionnaire (Pape Jean-Paul II).
Ces documents officiels confirment le message qui a été donné par Ad Gentes mais dans un monde et une Église en pleine transformation et mutation.

De la seconde moitié du XIX siècle jusqu’au Concile Vatican II, de profonds changements sociaux et politiques ébranlèrent l’Europe et le monde en général, avec la double tragédie humaine de deux guerres mondiales. Mais il y a aussi eu la longue période coloniale, on peut presque dire que si les « pays gagnaient des territoires », les « Églises gagnaient des âmes », comme si les populations dans les autres continents étaient sensées ne rien savoir avant la colonisation. Et pourtant, chaque continent, chaque pays, chaque peuple de la terre a une richesse propre grâce à : son histoire, son organisation sociale, sa culture, ses traditions, sa langue, ses coutumes, ses usages, ses religions traditionnelles, ses cultes, ses croyances ancestrales, ses rites, etc…..nous le savons bien. Avant l’annonce de la Bonne Nouvelle, les personnes vivaient déjà des choses fortes au sens religieux du terme. Elles avaient un lien avec l’invisible, avec un Être suprême, avec quelqu’un au-dessus du genre humain. Elles éprouvaient le besoin de l’invoquer, de le prier à la fois pour lui rendre grâce et pour demander des grâces en cas de conflit, d’épidémie, de la sécheresse, de famine…

Le décret Ad Gentes arrive donc à un moment où l’image et l’activité apostolique de la mission de l’Église dans le monde est parfois perçue comme un peu « floue et/ou ambiguë ». Le décret veut répondre à l’urgence d’une nouvelle théologie de la mission, mais à partir de la richesse de l’Écriture Sainte. A cette période, alors que dans les pays de vieille chrétienté l’Église s’affaiblit, dans les endroits récemment évangélisés elle est pleine de vitalité. En effet, les nombreuses congrégations venues d’occident, à la suite des apôtres, se sont développées en témoignant de leur foi et en évangélisant les populations. Dans ces pays le lien avec l’au-delà, avec les esprits du monde ancestral, fait partie de la culture et l’Évangile apporte un plus. Il ne s’agit pas de détruire ce qui existait mais de s’appuyer dessus pour bâtir un monde meilleur… « Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir. » (Mt 5, 17). Aujourd’hui comme hier, dans chaque continent, Jésus donne et apporte une nouvelle lumière, un nouvel éclairage, un nouveau sens dans les situations vécues.

« Va, je t’envoie ! »

Le décret Ad Gentes nous rappelle que la première mission est un processus « intra trinitaire ».
Ainsi la première mission se réalise entre le Père et le Fils, et puis entre le Fils et l’Esprit Saint. Il y a une communion d’Amour qui passe de l’un à l’autre, comme un dynamisme d’unité. A un moment donné de l’histoire Dieu s’est fait Homme à travers son Fils et il l’envoie sur terre : « Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité. » (Jn 1, 14).

Le Baptême de Jésus :
Dans les évangiles Jean Baptiste prépare le chemin de Jésus, chaque évangéliste a sa manière d’exprimer ce qui se passe entre le Père, le Fils et l’Esprit lors du baptême de Jésus par Jean Baptiste (Mt 3, 13-17 ; Mc 1, 9-11 ; Lc 3, 21-22 ; Jn 1, 29-34). Dans les quatre textes on trouve des éléments communs :
– Jean Baptiste prépare le chemin du Seigneur.
– Le dialogue entre Jean Baptiste et Jésus.
– La présence de l’Esprit Saint, sous forme d’une colombe, et une voix qui identifie Jésus comme le Fils de Dieu et donne ainsi le sens de la mission trinitaire : Et des cieux, une voix disait : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en lui j’ai mis tout mon amour. » (Mt 3, 17).

L’envoi en mission :
Dans les trois évangiles synoptiques la rencontre de Jésus ressuscité avec les apôtres se termine par l’envoi en mission : Mt 28, 18-20 ; Mc 16, 15-18; Lc 24, 46-49.
« Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile à toute la création » (Mc 16,15).
Cette phrase est à la base de notre Église catholique et universelle et il faut noter l’importance du mot « création » qui la termine. Il ne nous faut pas aller vers l’autre pour l’évangéliser en première intention, mais pour le rencontrer comme un être humain et le respecter tel qu’il est, le reconnaître comme une créature de Dieu Père-Créateur avec la richesse de ses différences et sa dignité d’homme et de femme.
Dans l’évangile de Jean nous découvrons que cet envoi est un envoi dans l’Esprit : Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il souffla sur eux et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. À qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis ; à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. » (Jn 20, 21-23). On retrouve ainsi l’envoi en mission sur la base de la mission d’Amour de la Trinité (entre le Père, le Fils et l’Esprit Saint) qui est aussi en nous à partir de notre « baptême », puis elle est amplifiée par notre « confirmation ». « De même que tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi, je les ai envoyés dans le monde » (Jn 17, 18). Nous devons apporter « aux autres » (= Ad Gentes) qui nous entourent l’Amour du Christ ressuscité toujours vivant en nous et parmi nous.

L’activité missionnaire de l’Église « ad gentes »

Plan du décret
Chapitre I : 2-9 / Principes doctrinaux.
Chapitre II : 10-18 / L’œuvre missionnaire elle-même.
Chapitre III : 19-22 / Les Églises particulières (qui se sont développées à la suite de la présence des missionnaires et qui maintenant sont formées de prêtres autochtones).
Chapitre IV : 23-27 / Les missionnaires.
Chapitre V : 28-34 / L’organisation de l’activité missionnaire.
Chapitre VI : 35-41 / La coopération.

But
Les Pères, lors du Concile Vatican II, ont voulu revenir à l’essence de cette communion : c’est à l’Église qu’est confiée cette mission d’Amour et de Communion entre les peuples.
AG 2 : « De sa nature, l’Église, durant son pèlerinage sur terre, est missionnaire, puisqu’elle-même tire son origine de la mission du Fils et de la mission du Saint-Esprit, selon le dessein de Dieu le Père. »
L’Église fondée par le Christ a ce rôle encore aujourd’hui, d’aller apporter à tous les peuples ce message d’amour et de communion entre les peuples… Nous sommes Église et donc, chacune et chacun de nous grâce au don du baptême reçu qui fait de nous des enfants de Dieu, nous formons l’Église. Dieu continue de nous combler sans cesse par la force de la Bonne Nouvelle et la vie sacramentelle.
AG 4 : « Le Christ Jésus lui-même, avant de donner librement sa vie pour le monde, a de telle sorte organisé le ministère apostolique et promis d’envoyer le Saint-Esprit, que ce ministère et cette mission sont tous deux associés pour mener à bien, toujours et partout, l’œuvre du salut ». Quel que soit notre âge, nous sommes envoyés, appelés à sortir et à partir, ici ou ailleurs… C’est ce qui nous fait toutes et tous missionnaires. « Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit » (Mt 28, 19).
AG 35 : « L’Église étant tout entière missionnaire, et l’oeuvre de l’évangélisation étant un devoir fondamental du Peuple de Dieu, le saint Concile invite tous les chrétiens à une profonde rénovation intérieure, afin qu’ayant une conscience vive de leur propre responsabilité dans la diffusion de l’Évangile, ils assument leur part dans l’oeuvre missionnaire auprès des païens (nations). »

Et aujourd’hui :
Tout comme la société civile, l’Église a évoluée, donnant la parole à chaque Église particulière (jeune Église, Église soeur). Toutes les expressions de l’Église universelle ont quelque chose à nous dire : comment les personnes vivent leur foi au Christ et au service de nos frères et soeurs en humanité ? Comment elles peuvent nous éclairer dans nos contextes si différents ? A tel propos, le cheminement de l’Église est fort intéressant si on pense que, entre 1991 et 2009, il y a eu une longue et profonde réflexion missionnaire mondiale, en tenant compte de la particularité et de la spécificité de chaque Église particulière. A savoir, les différents synodes spéciaux : Ecclesia in Europa, Ecclesia in Africa, Ecclesia in America, Ecclesia in Asia, Ecclesia in Oceania.
C’est cela qui fait la richesse de l’Église qui est véritablement universelle ; c’est l’héritage missionnaire d’aujourd’hui à transmettre aux autres et ainsi bâtir ensemble l’Église de demain. Les défis bien sûr sont différents pour chaque continent, mais ils existent des défis communs et pour les relever nous pouvons utiliser l’expérience des autres.

Chaque Église apporte son authenticité missionnaire et sa richesse apostolique et spirituelle, son trésor « au pot commun » de l’Église universelle.
Nous sommes donc invités à prendre le temps de relire la richesse de « AD GENTES » pour la confronter à notre contexte actuel, repérer les défis, comme certains phénomènes grandissants :
– la sécularisation, l’indifférence, l’individualisme ;
– le relativisme (même celui de Dieu et des religions) ;
– la banalisation de l’être humain, (je peux décider de mourir, mais je peux aussi décider de la mort des autres qui m’entourent par les attentats) ;
– le non-respect de la dignité humaine, les nouvelles formes d’esclavage moderne (travail au « noir », chantage aux papiers, enrichissement frauduleux, etc.) ;
– les différentes formes de dépendances (ordinateur-internet : tout le monde est connecté mais il y a le risque que personne ne connaisse son « voisin ») etc. …même dans l’Église ;
– la cohabitation avec le brassage des cultures, des croyances/non croyances ;
– la peur, la méfiance, l’intolérance, les dérives et les dérapages de toutes formes de fondamentalisme ou du radicalisme religieux, dans le sens large du terme.

En relisant Ad Gentes demandons-nous :
– Est-ce que la Bonne Nouvelle nous apporte une nouveauté de vie ? Est-ce qu’elle a encore quelque chose à nous dire ?
– Est-ce que nous nous faisons proches de l’autre ? Ad Gentes envoie chacun de nous remplir une mission de communion et d’amour entre les peuples, pas forcément loin de chez nous, mais juste là où nous sommes chaque jour, dans notre milieu de vie.
– Comment pouvons-nous nous « approcher » pour atteindre l’autre ?
– Quels sont les défis que les personnes vivent autour de nous ?
– Comment être des hommes et des femmes de communion avec les gens qui nous entourent ?
– Commente garder, porter et confier « l’ad gentes » qui est ailleurs dans ma prière personnelle et dans notre prière communautaire ?

Après l’intervention du Père Bartolotta, nous avons échangé quelques impressions, puis nous nous sommes retrouvés à l’oratoire de la maison diocésaine pour l’eucharistie préparée par le diocèse de Lyon, en présence des membres des services diocésains et des religieuses des deux congrégations présentes sur la maison.
Le repas convivial tiré du sac a été l’occasion d’échanges entre les différents diocèses. Avant de reprendre notre rencontre le Père Joachim a proposé une visite de la cathédrale de Viviers, ou une visite de l’exposition de l’œuvre d’Orient. Certains ont même profité de ce temps libre pour une petite réunion de travail !

A 14h30, le Père Joachim Kolié a pris la parole :
pour présenter les orientations proposées au Conseil Missionnaire National pour les prochaines années :
Lors du Conseil Missionnaire National, nous étions 112 représentants des diocèses et nous avons fait des propositions aux évêques pour les trois années à venir.
Ces quatre orientations sont :
* Une Église en sortie : développer la culture de la rencontre, la rencontre des personnes de religion différente, de milieu social différent, de culture différente, la rencontre des « Non Chrétiens Baptisés » (Pape François)
* La communion missionnaire : être missionnaire ne consiste pas seulement à partir ailleurs ; c’est être capable de partir et recevoir des autres différents de nous. D’où la nécessité de créer des cellules d’accueil dans les diocèses pour préparer à accueillir les paroisses françaises d’une part, et les prêtres étrangers, les membres des communautés religieuses d’autre part, et les initier aux « choses de la vie française », faciliter l’échange et le dialogue.
* La conversion missionnaire : se dire que convertir les autres, c’est commencer d’abord par se convertir soi-même. Suis-je évangélisé avant de chercher à évangéliser les autres ?
* Aller vers les frontières : se mettre au service (en lien avec Diaconia) ; l’écologie c’est le service du frère qui souffre du dérèglement climatique, de la déforestation, de la pollution… il s’agit de repérer les nouvelles pauvretés
Un bureau du Conseil Missionnaire National a été mis en place, il travaille sur la mise en pratique et l’évaluation des orientations. On attend l’aval des évêques pour avancer.

Pour nous inviter à la prochaine université d’été de Vannes, du 24 août 12h au 28 août 14h
Coût de session : environ 260 euros
Lieu : espace Montcalm (Maison diocésaine)
Titre : « Va, Je t’envoie », thème de la journée missionnaire mondiale ; réflexion autour de la mission de l’Église universelle.
Contenu : 3 axes en lien les uns avec les autres
1- Présentation de l’encyclique du Pape François sur l’écologie humaine.
2- Le tourisme pastoral : le tourisme est une réalité importante dans la société actuelle. Comment être missionnaire dans ce secteur du tourisme ?
3- Visite de terrain: le mercredi après-midi aura lieu une visite.
Sont concernés par cette session les DDMU, les membres de la Mission universelle, les sympathisants…

Affiche OPM 2015A 15h, le Père Alfonso Bartolotta a présenté les outils pour la prochaine semaine missionnaire mondiale :

L’affiche : Le Pape et le même cadre que l’affiche de l’an dernier pour assurer une continuité. Le geste du Pape qui nous « envoie ». Le message avec un « J » majuscule pour signifier que ce n’est pas seulement le Pape qui envoie mais Dieu lui-même. La phrase est tirée du livre de l’Exode 3, 10. « Maintenant donc, va ! Je t’envoie chez Pharaon : tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les fils d’Israël. » Les formats sont les mêmes que l’an dernier.

Le livret d’animation de la semaine missionnaire (20 pages) :
* Approfondir le thème avec une analyse de Pierre Diarra ;
* Animer la journée de prière continue (proposition d’une trame) ;
* Le texte de la prière pour la semaine missionnaire ;
* Préparer les célébrations des dimanches 11 et 18 octobre 2015 avec mot d’accueil, idées de prières pénitentielles, l’intégralité des lectures, des pistes pour méditer, des propositions d’intentions de prières universelles ;
* Présenter la quête mondiale pour la mission ;
* Animer avec l’Enfance Missionnaire : présentation des deux nouveaux outils de l’Enfance Missionnaire :
1) Le recueil « Prier avec les enfants du monde » : livre en couleur réalisé en partenariat avec les OPM du Luxembourg. Le but est de faire découvrir l’importance de la prière dans la vie des enfants à travers le monde. Ces prières sont l’expression des enfants de 23 pays sur les 5 continents. A qui s’adressent-t-ils pendant la prière ? Pour qui prient-ils ? Ce recueil invite à prier entre amis ou en famille.
Prier_enfants2) Le DVD « Voyage avec les enfants du monde » : Un film de 29 minutes. Elena et Deddy, compagnons de classe doivent faire une recherche sur la Tanzanie. Ils demandent de l’aide à un ami missionnaire qui les amène à connaître l’histoire d’enfants d’autres pays dans le monde : de la Syrie au Kenya, du Nigeria au Salvador en passant par le Venezuela. Le missionnaire leur explique comment ils peuvent devenir Enfants Missionnaires par leurs actions concrètes et par de petits engagements quotidiens. C’est la mission avec les enfants et par les enfants.
* Des conseils pour bien animer et comprendre la pastorale des jeunes.
* Des conseils pour bien préparer la semaine missionnaire.

Le bon de commande du matériel de la semaine missionnaire avec une large place faite à l’animation missionnaire auprès des enfants.

Proposition : Pierre Diarra envisage la publication d’une brochure format A5 (de 60 pages environ) avec l’intégralité du décret Ad Gentes et des notes explicatives pages par pages.

A la fin de cette journée chaque diocèse :
– a présenté sa façon de fonctionner, soulevant quelquefois ses difficultés (grande diversité des paroisses, peu de contact et de retours entre les paroisses et les services de Coopération Missionnaire)
– et nous a invités à « bouger » :
* Diocèse de Lyon : redécouvrir la maison de Lorette ;
* Belley Ars : 3 grands moments d’animation autour de St Pierre Chanel qui évangélisa l’Océanie autour du sanctuaire Saint Pierre Chanel de Cuet, à Montrevel-en-Bresse, dans l’Ain.

P. Kolié et équipe de Coopération Missionnaire de l’Ardèche

Viviers – Va Je t’envoie – 5 mai 2015

Province de Toulouse
Les équipes autour des DDCM de la province se sont réunies les 29-30 mai 2015, là aussi pour préparer la semaine missionnaire mondiale d’octobre. Le compte-rendu de la rencontre se trouve ici sur le site du diocèse d’Albi (Tarn) ce qui décuple évidemment la portée de ce texte. Bonne lecture ! Session annuelle de la province de Toulouse 

 

 

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