Retour sur l’université d’été 2017
Annoncer l’Evangile dans une société post-moderne !
L’université d’été de 2017 s’est tenue à la Maison d’accueil du diocèse de Perpignan du lundi 21 août 12h au vendredi 25 août 14h.
Voici le programme des travaux.
Le thème de cette université était : Annoncer l’Evangile dans une société post-moderne !
Le lundi, les participants se sont présentés.
Ils étaient 49 participants. Mais les statistiques portent ici sur 37 personnes. La médiane de l’âge est de 64 ans, le plus jeune avait 40 ans et le plus âgé 85 ans. 14 hommes et 23 femmes. Toutes les provinces ecclésiastiques étaient représentées, sauf Lille. Avec bien sûr un bon nombre (12) de personnes du diocèse de Perpignan, qui ont mis à profit cette université pour venir s’instruire un ou plusieurs jours.
Parmi les participants, on comptait 8 prêtres, 2 diacres (permanents) et 6 religieuses, et 25 laïcs. 13 délégués diocésains à la mission universelle, et 13 également LEME (laïc en mission ecclésiale), qui peuvent être parfois les mêmes personnes. Pour 15 personnes, il s’agissait de la première université d’été à laquelle ils participaient.
Le lundi, en guise de prière d’ouverture, Brigitte Thouvenot a présenté un verset de l’Evangile et a introduit la méthode de la mémorisation gestuée.
Pierre Diarra a présenté la problématique de la société post-moderne, et les textes du Magistère qui présentent l’évangélisation, y compris de cette société post-moderne.
Au cœur de la postmodernité : nouveaux accents de l’évangélisation
La soirée a permis de visionner des extraits du documentaire québécois « L’heureux naufrage » …
La journée du mardi a été animée par Mgr P. Carré, archevêque de Montpellier, et vice-président de la Conférence des Evêques de France.
Revenir à l’Evangile et à la personne du Christ
Des groupes de travail ont permis un échange entre participants.
Le soir, le groupe a pu rencontrer Mgr N. Turini, évêque de Perpignan, qui a présenté le diocèse. Et il a présidé l’eucharistie de ce jour.
Le mercredi, les participants se sont rendus au monastère de St Michel de Cuxa, pour une visite et une réflexion sur le tourisme.
Tourisme mondialisé, tourisme durable ?
L’après-midi a été consacrée à la visite du camp de Rivesaltes . La visite de ce camp, vestige de l’histoire mouvementée et parfois contradictoire du département d’accueil de cette université, a favorisé une réflexion sur l’histoire, la mémoire et la place de la souffrance, des traces de l’injustice, du pardon… dans nos mentalités collectives. En fin d’après-midi, le groupe a visité l’église de St André de Rivesaltes et son retable baroque. La journée s’est achevée au restaurant Domaine de Rombeau pour goûter quelques spécialités culinaires catalanes.
Le jeudi a permis à Geneviève Comeau de présenter la société post-moderne et les quêtes spirituelles qui s’y repèrent. L’après-midi, elle a développé un aspect de cette société post-moderne : le pluralisme religieux à l’œuvre au sein de ce type de société. Et les exigences en matière de dialogue interreligieux…
Vivre les rencontres interreligieuses
Inscrire la proposition de foi chrétienne
Le vendredi matin, Antoine Sondag a commenté le « savoir spontané » du groupe au sujet de la société post-moderne, savoir spontané qui s’était exprimé le lundi. Résumé à venir ici.
Des évaluations ont été faites par les participants, avant de se réunir pour une eucharistie d’’action de grâce et d’envoi en mission. Synthèse des évaluations
Rose-Line Coureau, DDMU d’Albi, a fait un excellent résumé de l’université d’été 2017 pour le site de son diocèse.
Voir le compte-rendu des universités d’été de 2015 et de 2016.